Edogawa reste un auteur classique du roman policier japonais.
« Le lézard noir » est sa plus célèbre œuvre, adaptée au théâtre et au cinéma.
Le roman s’ouvre sur une scène de débauche marquée par l’effeuillage d’une mystérieuse créature tatouée d’un lézard : l’Ange noir.
On retrouve le personnage en train d’organiser l’enlèvement de la ravissante fille d’un joaillier.
Son ingéniosité redoutable va se heurter au non moins rusé détective Kogorô Akechi.
Un bras de fer commence ; une touche de séduction dans la forme.
Courses-poursuites et travestissements pour ce polar à l’ancienne.
L’Ange noir semble être l’alter ego féminin d’Arsène Lupin.
Une touche de classe, une autre de folie mégalomane, ruse contre machiavélisme pour cette intrigue rocambolesque.
Ce petit roman me fait l’effet d’une coupe de champagne.
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1 commentaire:
J'ai la chambre rouge et l'�le panorama de cet �crivain. Tr�s bien. J'ai le l�zard noir, mais je ne l'ai pas encore lu.
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